La cataracte est une opacification du cristallin qui conduit à une baisse progressive de la vue et qui se manifeste au début par des éblouissements, et une impression d’avoir un voile devant les yeux. Cette maladie de l’œil touche davantage les personnes âgées, mais peut aussi toucher les plus jeunes et même les enfants.

On peut très bien ralentir son développement à travers certaines mesures préventives comme arrêter de fumer, puisque la cigarette augmente le risque d’avoir ce type de maladies. On peut aussi éviter d’exposer ses yeux directement aux rayons du soleil et manger beaucoup de fruits et de légumes ; ce type d’aliments contient en effet des antioxydants qui préviennent l’évolution de la cataracte.

Si jamais cela ne suffit pas, vous pourrez alors opter pour la dernière solution envisageable : la chirurgie. La cataracte ne se traite effectivement pas avec des rayons laser ni avec des gouttes oculaires. Si vous ne voulez pas en arriver à ce stade, nous vous conseillons de suivre les conseils des médecins et d’éviter tout ce qui peut aggraver cette opacification progressive du cristallin.

Mais la cataracte n’est pas une fatalité et ces quelques gestes simples ainsi que les conseils de votre ophtalmologiste vous aideront peut-être même à éviter de devoir recourir à la chirurgie!

? C’est quoi ?

La presbytie est une maladie visuelle qui touche toute la population. Elle se fait généralement sentir à l’approche des quarante ou quarante cinq ans, selon les personnes. Elle est dûe à la diminution naturelle avec l’âge de la capacité d’accommodation du cristallin lors de la lecture, par exemple.

Pour voir de près, en effet, le cristallin va s’adapter de façon à ce que la vue reste nette, peut importe la distance présente entre les yeux et l’objet. Cette accommodation est rapide et ne se sent pas. Elle est cependant variable avec l’âge. En effet, si elle est très forte chez l’enfant, elle diminue avec l’âge : le cristallin finit par perdre toute son élasticité et n’est plus capable de faire l’accommodation. La mise au point pour la vision de près devient donc difficile et l’image de l’objet observé ne se fait plus sur la rétine : elle est donc floue. Une correction visuelle devient nécessaire.

? Quels en sont les signes ?

La presbytie est un phénomène habituel chez tous les individus à partir de 45 ans. La distance de lecture habituelle étant de 30 à 40 cm, quand la presbytie débute, le sujet est d’abord obligé d’allonger les bras pour lire, de chercher un meilleur éclairage, puis de porter en permanence des lunettes. Au début, la presbytie se manifeste par une baisse de vision pour la lecture des petites lettres et quand la lumière est insuffisante. La presbytie peut entraîner une fatigue oculaire, des céphalées. La presbytie progresse assez rapidement jusqu’à 55 ans, ralentit jusqu’à 60 ans puis se stabilise.

? Comment s’en guérir ?

La prebytie évolue de façon progressive pour se stabiliser vers l’âge de 60 ans, raison pour la quelle la correction doit évoluer régulièrement.

– La presbytie peut être corrigée par des lunettes progressives.

Les verres progressifs ont la particularité de présenter deux puissances différentes, qui varient de la partie haute à la partie basse du verre. Cela permet d’avoir une vision intermédiaire correcte également. L’avantage de ce type de verre est de corriger la presbytie et de permettre en même temps de voir net à toute distance en corrigeant un autre défaut visuel, comme la myopie, l’hypermétropie ou l’astigmatisme. Ces verres progressifs connaissent des progrès constants et sont très performants à condition d’un bon centrage par l’opticien. Spécialisé dans la vente sur internet de lunettes progressives, ExperOptic met un point d’honneur à réaliser des prises de mesures sérieuses et fiables, garantissant un centrage des verres parfait.

– La presbytie peut être corrigée par des lentilles de contact …

… progressives. Elle permettent de voir à toutes les distances. Leur adaptation est souvent difficile : en effet, elles nécessitent un temps d’adaptation durant le quel la vision peut être légèrement floue. De plus, un manque de larmes, fréquent à l’âge de la
presbytie, n’aide pas à porter ce type de lentille.

– La presbytie peut aussi être corrigée par une opération de presbytie.

Cette opération peut se faire par laser (presby-lasik). Elle permet de donner à la cornée des zones de puissances différentes comme pour un verre progressif. Le laser modifie la courbure de la cornée de façon à augmenter son pouvoir optique et la profondeur de champ afin de permettre la vision de près comme de loin. Les 2 yeux sont traités différemment afin de permettre la vision de loin, intermédiaire et de près, ce qui demande une étude préalable soigneuse et une chirurgie personnalisée en fonction des besoins de chacun.

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Cortisone, tranquilisants, anti-inflammatoires, traitements pour le coeur… De nombreux médicaments peuvent abîmer les yeux et la vue, avec pour certains des effets graves et irréversibles.  Voici quelques exemples. Il est important de noter que les effets de ces médicaments ne concernent pas uniquement les personnes ayant des défaut visuels, portant des lunettes. Ce sont des effets indépendants de toute maladie visuelle.

Cortisone : des risques de cataracte.

La prise de cortisone peut donner une hypertension intra-occulaire. Il suffit de quelques jours de prise pour que les effets se fasse sentir et si la prise du médicament est plus longue et chronique, le risque d’avoir une cataracte n’est pas à exclure. Si ces symptômes se font sentir, il est urgent d’aller consulter le médecin.

Plaquenil® : des dommages irréversibles sur la rétine

Les complications rétiniennes dépendent de la susceptibilité de chaque patient et de la dose cumulée de Plaquenil®. Généralement, les effets apparaissent à partir de quelques centaines de grammes. Au pire, une prise de Plaquenil® pendant plusieurs années peut entraîner une perte de la vision mais dans l’ensemble, les personnes prenant ce médicament sur une prise courte peuvent voir des halos, une vision brouillée ou être sensible à la lumière, des symptômes réversibles une fois le traitement arrêté. Toute personne suivant ce genre de traitement doit être suivit par un ophtalmologiste.

Cordarone® : elle abîme la cornée

Prescrit en cas de trouble du rythme cardiaque, le Cordarone® peut abîmer la cornée.  La prise d’amiodarone entraîne régulièrement la formation de dépôts cornéens, généralement sans gravité et ne perturbant pas la vision. Si ces dépôts deviennent massifs, ils peuvent troubler la vision et donner la sensation de voir à travers une vitre sale. Cet effet est réversible, mais il est cependant conseillé d’être suivi par un ophtalmologiste lorsque l’on prend ce médicament.

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Une équipe de médecins américains vient de franchir un pas prometteur dans le traitement de la DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l’âge). Cette percée médicale prouve qu’il est possible de greffer des cellules souches embryonnaires dans l’œil, en les injectant assez profondément dans l’épaisseur de la rétine.

Deux patients, qui avaient quasiment perdu la vue, ont déjà pu bénéficier de cette avancée majeure : une septuagénaire atteinte de la forme «sèche» de DMLA et une personne atteinte de la maladie de Stargardt (une forme de dégénérescence maculaire qui atteint les enfants généralement entre 7 et 12 ans). Des améliorations notables de la vision ont été constatées et ont persisté pendant plus de quatre mois.

Il s’agirait du premier rapport sur la transplantation de cellules dérivées de CSEh chez des patients. Selon Robert Lanza, directeur scientifique chez Advanced Cell Technology, les données concenrnant la prise de greffe sont à ce jour très encourageantes. Il existe déjà plusieurs médicaments pour le traitement de la DMLA cependant, aucune thérapie n’a été prouvée pour l’instant.

Ces deux essais ony été fait dans le cadre d’une étude ouverte visant à déterminer la sécurité et la tolérabilité des cellules dérivées de CSEh à la suite d’une transplantation sous-rétinienne, chez des patients atteints de DMLA sèche à 12 mois. Un certain nombre de personnes doivent encore être traitées.

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Lorsque l’on porte des lunettes de façon quotidienne, il est important d’en prendre soin et de les entretenir correctement. Pour vos lunettes de vue comme pour vos lunettes de soleil, voici quelques réflexes simples qui vous permettront de conserver vos lunettes dans un parfait état durant un petit peu plus de temps.

Concernant le nettoyage des lunettes, il est conseillé d’utiliser un liquide dégraissant, tel que le produit d’entretien vendu chez l’opticien. A défaut, vous pouvez utiliser tout simplement del’eau savonneuse. Attention, il ne faut pas les laver à l’eau chaude ! En effet, cela, abime le vernis présent sur les verres au fur et à mesure des nettoyages.

Pour prendre soin de vos lunettes, passez un coup de chiffon doux dessus. Il ne faut pas utiliser les vêtements. En effet, les fibres vestimentaires on tendance à rayer les verres des lunettes. Il faut également éviter les essuie-tout, mouchoir en papier, …

A la plage, il faut bien entendu faire attention au sable, qui raye les lunettes : pensez à mettre vos lunettes dans un étui de protection. Les étuis rigides sont plus adaptés que les étuis souples. Ils protègent tout simplement mieux les lunettes.

Enfin, il est important de tenir compte de ces quelques conseils : il faut bien toujours poser les lunettes sur les branches pliées ; ne jamais mettre les verres directement sur la table. Il n’est pas conseillé de mettre des cordons aux branches, il pourraient tirer et déformer les branches des lunettes.

En montagne, les conditions climatiques peuvent être extrêmes. Les sports de glisse comme le ski ou le snowboard nécessitent le port de lunettes ou de masque de ski pour protéger les yeux contre le vent, le froid, la neige, l’humidité et surtout la luminosité due à la réverbération sur la neige. Le site choisir ses lunettes vous donne quelques conseils pour protéger vos yeux comme il faut.

La protection contre les UV et l’éblouissement.

En montagne, les rayons du soleil sont moins filtrés par l’atmosphère et la quantité d’UV augmente de 4% tous les 300 m. De plus la neige réfléchit 85% de ces UV. En altitude, ce sont donc les catégories de protection 3 et 4 qui sont les plus adaptées et proposées
pour les lunettes de ski. Avant d’acheter vos lunettes de ski, veillez à ce que le marquage CE soit bien présent.

La teinte protège de l’éblouissement et son choix dépend donc du temps qu’il fait ! Vous pouvez acheter 2 masques à utiliser suivant les conditions météo : un masque à écran jaune pour le mauvais temps et un masque à écran plus foncé pour le beau temps. Si vous ne souhaitez avoir qu’un seul masque, sachez qu’il existe des lunettes de ski à écran interchangeables – qui permettent donc de changer l’écran du masque selon la météo et la luminosité – ou des masques photochromiques dont la teinte varie en fonction de la lumière. D’une manière générale, plus la teinte est foncée, plus elle protège des lumières vives.

Masque de ski ou lunettes de soleil ?

Suivant votre utilisation ou vos goûts personnels, un masque de ski n’est pas forcement nécessaire. Si vous optez pour des lunettes de soleil, choisissez-les très couvrantes car les rayons du soleil s’infiltrent facilement par les côtés ou par le haut. La forme de lunettes idéale est une forme montante jusqu’au niveau des sourcils et aussi large que votre visage. On trouve de nombreux modèles couvrants chez Oakley ou Arnette.

Il existe également des lunettes de glacier qui offrent une excellente protection : les verres polarisants souvent traités avec un effet miroir ou teintés en jaune pour améliorer la vision des contrastes. Les côtés sont garnis de cuir afin d’assurer l’étanchéité à la lumière. Elles ont également un bon maintien sur le visage compatible avec les sports de glisse.

Si vous êtes amateur de ski ou de snowboard, choisissez de préférence un masque. Ses avantages : il vous protégera également des projections de neige et ce sera moins désagréable – voire dangereux – en cas de chute. De plus, ils sont devenus très à la mode. La tendance 2012 est aux coloris flashy ou au noir qui reste toujours le classique indémodable. Il est possible de porter ses lunettes de vue sous le casque. Il faut simplement faire attention à ce que les lunettes ne glissent pas sous le masque et à ce que le masque ne soit pas trop serré.

Vous pourrez trouvez d’avantage d’informations sur le site choisir ses lunettes.

Au volant, en été ou quand la luminosité se fait trop forte, il est courant de porter des lunettes de soleil afin de ne pas être ébloui. Mais est-ce vraiment de l’éblouissement qu’il faut se protéger ? Pour s’assurer une bonne santé visuelle, il est important de comprendre de quoi il fait se protéger : les rayons ultraviolet. Non, nous ne nous protégeons pas uniquement contre l’éblouissement. Trop de personnes pensent encore que s’il est utile de porter des lunettes de soleil, c’est pour lutter contre l’éblouissement que provoque le soleil. C’est vrai, bien entendu, mais l’éblouissement est loin d’être le facteur le plus important dont on doit se protéger. Il existe bel et bien une correction pour prévenir de l’éblouissement : il s’agit des verres teintés, qui ne laissent pas passer la lumière du soleil sur les yeux. Ils sont cependant très différents, dans leur traitement, des verres filtrants. Ces derniers ont pour but de bloquer les rayons UV. Contrairement aux verres teintés, ils assurent une protection totale.

A noter que l’éblouissement est provoqué par la lumière bleu : c’est elle qui est majoritairement présente dans la lumière du jour, notamment lorsque le ciel est dégagé Elle se focalise sur la rétine et peut brouiller la vision.

En quoi le rayonnement solaire est-il un danger pour nos yeux ?

Avant de nous parvenir, les rayons du soleil traversent l’atmosphère. Ils vont donc être en parti absorbés par tout ce qui la compose : l’ozone, les composés gazeux que l’on trouve dans l’air, … Et parmi les différents rayonnements solaires, tous ne nous parviennent pas. Les seuls que nos yeux peuvent percevoir sont ceux qui fournissent la lumière. Les plus nocifs, tels que les ultraviolets ou infrarouge,  sont présents dans les rayons lumineux mais restent totalement invisibles. Il faut savoir que leurs effets sont constants, même si le soleil n’est pas à son zénith.

Comment adapter sa protection à chaque situation ?

Selon la qualité de lumière, il faut bien entendu adapter sa protection. Les UV seront plus forts l’été et l’intensité du soleil est plus forte aux alentours de midi. L’exposition peut être plus dangereuse en montagne ou encore à la mer, sur la quelle le soleil se reflète. Il est donc important de bien tenir compte de ces différentes données afin d’être parfaitement protégé.